Les cigarettes électroniques ont pour finalité de libérer leurs utilisateurs du tabac qui a en réalité des conséquences sur la santé de ces derniers et sur leurs environnements. Cependant, certains États à l’instar de la France pensent que ces produits doivent être classés dans le même lot que les cigarettes classiques. Ainsi, les ecig font désormais l’objet d’une législation fiscale en France comme dans d’autres pays de l’Europe. Mais est-ce une bonne idée ? À propos, restez focus sur cet article.

Taxer les cigarettes électroniques pour des raisons de fiscalité comportementale

L’usage des cigarettes électroniques est en réalité le meilleur moyen pour se libérer de l’emprise des cigarettes traditionnelles. Mais pour l’Union européenne y compris la France, les ecig sont issus du même monde que le tabac. À cet effet, la France peut donc taxer librement les cigarettes électroniques pour des raisons de fiscalité comportementale. Dès lors, elle peut donc appliquer les mêmes règles de fiscalité autre fois appliquées aux cigarettes.

Cependant, la fiscalité comportementale est une forme de contribution indirecte qui vise à contrôler l’usage des substances traditionnelles telles que : le tabac et l’alcool. Cette fiscalité existe depuis des années déjà et a été conçue pour diverses raisons. L’une d’elles est la fumée du tabac qui dérange les personnes qui se trouvent à proximité du fumeur. Par ailleurs, la consommation de ces produits constitue un véritable danger pour la santé humaine. Raison de plus pour agir.

Pour l’État français, la taxation des cigarettes électroniques serait donc un moyen pour garantir la santé publique des Français, mais serait-ce une bonne idée dans un contexte de lutte contre le tabac ?

Taxer les cigarettes électroniques : une décision qui risque de compromettre les campagnes de lutte contre le tabagisme

Il est clair que de par cette taxation, l’État français a tout d’abord pour intention de protéger la santé de ces concitoyens. En effet, il considère que les cigarettes électroniques sont également des produits dont on ne peut encourager la consommation. Mais en considérant la finalité de la vape, il est judicieux de dire que cette taxation peut en réalité compromettre les politiques de lutte contre le tabagisme.

D’abord, des études ont révélé que les ecig contiennent moins de nicotine que les cigarettes traditionnelles. Alors, à en croire cette affirmation, on peut bien encourager ces prétendants consommateurs en abandonnant les taxes ou en les réduisant considérablement. Mais dans le cas contraire, cette méthode qu’emploie l’État français ne peut qu’empirer la situation.

Autrement dit, lorsqu’on taxe la commercialisation de ces produits, ils seront désormais chers sur le marché. Dès lors, assez de personnes ne voudront plus d’eux, juste parce que les moyens n’y sont pas. Paradoxalement, ce sont ces mêmes produits qui peuvent les aider à finir une fois pour de bon avec les cigarettes traditionnelles.

L’État français a bien le droit de taxer les cigarettes électroniques. Toutefois, cette taxation peut compromettre les politiques de lutte contre le tabagisme. Alors, il faut encore réfléchir sur la situation afin de rendre la lutte plus facile. Pour encore plus d’informations sur le monde de la vape, nous vous recommandons le blog de vape, BigVap.

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